Statistiques poker : les styles de jeu atypiques PokerNews - Daddy Tv

En résumé, un logiciel de suivi de poker peut être un outil précieux pour améliorer votre jeu et augmenter vos chances de gagner. Ainsi, vous pouvez la rejouer et éventuellement la poster sur un forum (Club Poker, au hasard) afin de la soumettre à l’avis d’experts. Sur un échantillon de 43 occurrences, la marge d’erreur est d’environ 15%. Et le joli 7% qu’affiche notre tracker est à lire “à 95% de certitude quelque part entre 7-15% et 7+15% (donc, entre 0% et 22%)”. L’idée derrière la notion de marge d’erreur est que la qualité d’une statistique va dépendre de la taille de l’échantillon analysé. Rien de surprenant sur le principe, c’est la mise en pratique qui étonne souvent.

• Sans plus attendre, tournons donc notre regard vers les 20 stats les plus utiles concernant le PFR.
• Autant d’informations que notre tracker n’a aucun moyen de prendre en compte.
• A l’opposé des joueurs qui ne prêtent aucune attention à leur position, il y a ceux qui en font trop.
• La plupart des joueurs réguliers ont des tailles de 3-bet standard.

En pratique, il y a une vingtaine de stastiques qui peuvent être utiles pour définir les ranges de notre adversaire. Il est très difficile pour un être humain d’avoir une bonne idée de toutes les statistiques utiles sans avoir de HUD ou de tracker même en ne jouant que sur quatre tables. Avoir un faible WTSD peut soit signifier qu’ils se couchent souvent avant l’abattage, soit qu’ils font en sorte que leurs adversaires se couchent souvent avant l’abattage.

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Le HUD enregistre automatiquement les mains dans un format facile à visualiser pour que vous puissiez les revoir par la suite. Vous pouvez également ” marquer d’une étoile ” vos mains lorsque vous rencontrez des difficultés, afin de les revoir rapidement par la suite. Si vous souhaitez jouer sur plusieurs tables, un HUD devient alors une nécessité plutôt qu’un simple avantage. En prenant les bonnes décisions dans une phase aussi critique du jeu, vous augmenterez vos chances de remporter la main.

• Ils ouvrent 11 à 13% des mains UTG et ont un très fort pourcentage de “steal” au bouton (vol de blinds).
• Et comment l’appliquer aux données fournies par notre tracker.
• Après cent mains, votre adversaire n’aura eu en moyenne que quatre fois l’occasion de fold sur un 3bet.
• Tu cliques sur player 1 puis preflop et en bas tu peux choisir le pourcentage .

Oui si la position peut être une dimension supplémentaire du tableau ca pourrait être vraiment intéressant. Le nombre donné par notre tracker sera en réalité compris entre ce nombre moins la marge d’erreur et ce nombre plus la marge d’erreur. Tel quel, décider de 4b A♣J♦ (ou au moins de payer son 3b) sur l’assomption qu’il surelance un poil large, semble réaliste.

% de fois que le joueur sur-relance un raise preflop

Plus l’écart entre le VPIP et le PFR est grand, plus un joueur aura tendance à cold call et a donc un range de cold call plus large avec de nombreuses mains faibles possibles. Faire face à un joueur LAG est difficile, mais pas autant que jouer ce style de jeu. Etre LAG réclame un maximum de concentration, de réflexion et un certain talent pour savoir quand exécuter un gros bluff que personne ne voit venir. Si vous ne battez pas largement les petites limites, ne vous essayez pas à ce style de jeu. C’est le style de jeu adopté par les joueurs de hautes limites et sur les tables en dur.

• Cela est à mettre en relation avec le pourcentage total de mains ouvertes.
• Si votre adversaire montre 35% ou plus, il est “showdown happy”.
• La seconde est de ne pas ouvrir de mains que vous allez passer face à un squeeze.

C’est pourquoi le HUD peut être votre meilleur ami lorsqu’il s’agit de jouer au poker. Ne manquez jamais la chance d’utiliser cette grande création à votre avantage. Comme vous pouvez vous y attendre, il y aura trop d’informations à traiter si vous jouez sur plusieurs tables en même temps.

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Je voulais savoir s’il existe sur internet une sorte de petit tableau qui met en corrélation les ranges et le VPIP/PFR. Une fois la liste de joueurs obtenus, vous pouvez ensuite choisir de trier les joueurs selon le plus gros PFR, le plus gros VPIP ou les plus grosses pertes. Même un échantillon de 250 occurrences ne nous permet pas réellement d’avoir une bonne idée de la fréquence de 3b. Je ne vais pas me lancer dans un cours de statistiques, vous trouverez de très bons didacticiels en ligne, ce qui nous intéresse est le résultat. Et comment l’appliquer aux données fournies par notre tracker. Autant d’informations que notre tracker n’a aucun moyen de prendre en compte.

• Le cas des relances dans les blindsIl n’y a rien de complexe, mais le jeu dans les blinds obéit à ses propres règles.
• Quand ce type de joueur se met à créer de l’action, soyez prêt à jeter vos mains, mêmes celles qui auraient dû être rentables contre d’autres joueurs.
• Nous avons demandé à l’instructeur de poker David Chicotsky de nous expliquer l’utilisation de base des HUD.
• Les différentes améliorations apportées aux trackers, les logiciels d’aide à la décision, permettent à présent de connaître non seulement le PFR total mais aussi le PFR par position.
• Je les ai exprimées dans le tableau suivant en pourcentage du nombre total de mains que j’ai jouées.
• C’est fou le nombre de vues que peut avoir une question sans obtenir de réponses.

Nous appelons la différence entre le VPIP et le PFR le “gap” et plus le gap est grand, plus il est probable que le joueur call pré-flop. Si je regarde le joueur à ma gauche et qu’il présente un gros gap, avec un de VPIP 30% et un de PFR 10% par exemple, je peux déjà savoir qu’il va me suivre environ 20% du temps. Si je joueur a la position sur moi, au lieu de relancer, je préfère fold. Rappelez vous qu’en tournoi il est surtout question de faire fold ses adversaires.

Comment évolue la marge d’erreur dans le temps ?

Lorsque vous jouez au poker sur Internet, le risque d’un ordinateur mal protégé est d’abord financier, avec la possibilité d’une perte totale de votre bankroll. Voici quelques conseils basiques pour vous éviter cette issue. Plus la fréquence d’une statistique est importante, plus vite cette statistique sera fiable. En pratique, il faudra moins d’occurrences avant que la statistique de CB soit fiable comparé à la statistique de 3bet. Trois histogrammes sont proposés dans cet article, un si je m’intéresse à la fréquence sur les 10 premières mains, un sur les 100 premières mains et un sur les premières mains.

Cela peut signifier relancer avant le flop, suivre ou compléter les grosses blindes. Plus le VPIP est élevé, plus le joueur est loose – et vice versa. Pour le no-limit hold’em 6-max, la plupart des joueurs réguliers se situent entre 19 et 25 % de tortugacasino VPIP. Consultez un PokerStove de 19% VPIP pour avoir une idée des mains que ce joueur jouerait. Quand ce type de joueur se met à créer de l’action, soyez prêt à jeter vos mains, mêmes celles qui auraient dû être rentables contre d’autres joueurs.

(ou vol en francais) % de fois que le joueur relance du CO, du BTN et de la SB quand le pot n’a pas été ouvert avant.

Pour obtenir cette information, j’ai pris ma base de données et j’ai regardé combien d’occurrences j’avais pour chacune de ces statistiques. Je les ai exprimées dans le tableau suivant en pourcentage du nombre total de mains que j’ai jouées. Une occurrence d’une statistique n’est pas le nombre de fois où on a réalisé l’action qui correspond à cette statistique mais le nombre de fois où on a eu l’opportunité de réaliser cette action. On peut voir sur la première figure qu’après 10 mains, un joueur qui ne jouerait que le top 10 % des mains, aura joué 30 % du temps dans 5 % des scénarios. Un joueur qui ne jouerait que le top 25 % des mains va jouer 50 % des mains dans 5 % des scénarios.

Les 12 statistiques suivantes concernent essentiellement la phase de push/fold en tournoi. L’on peut applaudir les développeurs d’Hold’em Manager pour ces stats qui sont inestimables. La technique du “push/fold” reste très créative, malgré les nombreux aspects mathématiques qui interviennent. Ces statistiques nous donnent une indication de l’éventail de mains avec lequel un joueur va “push” en fonction de la taille de son tapis. Il devient donc simple de savoir avec quelles mains on peut payer. Le cas des relances dans les blindsIl n’y a rien de complexe, mais le jeu dans les blinds obéit à ses propres règles.

Statistiques poker : Evaluer les ranges préflop avec le PFR par position

Quelqu’un avec une statistique de fold-to-three-bet basse est un joueur face à qui vous pouvez 3bet plus fort afin d’extraire un maximum de value. Voici les statistiques pré-flop les plus couramment utilisées. Comme pour tout type de jeu, une bonne stratégie est très importante pour gagner le prix.

Mais ce n’est pas parce qu’un joueur à un PFR de 15% qu’il relance le top 15% des hands. Il est parfois plus important pour moi d’utiliser position et mise, et en fonction des infos profils+position+mise+tapis+(board)+historique de déduire éventuellement la range. La seule VPIP et PFR ne suffise pas à déduire la range ….